Endométriose : traitement médical, alternative à la chirurgie dans la prise en charge des douleurs

La douleur représente la symptomatologie la plus marquée et la plus invalidante chez les femmes présentant une endométriose sévère, souvent associée à une localisation digestive et/ou recto-sigmoïdienne.

En dehors des problèmes de fertilité, la prise en charge de la douleur dans l’endométriose reste un problème majeur : deux articles récents comparent les résultats du traitement médical en alternative à une chirurgie, dont l’efficacité est certes prouvée, mais qui reste lourde et parfois invalidante.

Métabolisme et caryotype ovocytaires dans le syndrome d’ovaires polykystiques

Sarah E. HARRIS et coll. (Leeds Institute of Genetics et Université de LEEDS, Grande Bretagne) ont analysé les modifications de l’insuline et du glucose dans les liquides folliculaires chez des patientes présentant un syndrome d’ovaires polykystiques (S-OPK n = 14), des ovaires multi-folliculaires (OMF n = 14) et un groupe contrôle (n = 46).

Syndrome d'ovaires polykystique : définition, diagnostic, traitement à travers le monde

Ce rapport est le fruit d’une étude multicentrique portant sur 179.300 traitements d’infertilité liée au syndrome d’ovaire polykystique (S.OPK), effectués dans 262 Centres dans le monde.

L’ensemble des résultats a été rapporté par le Professeur Adam BALEN (Université de Leeds, Grande Bretagne).

Intérêt de l'hystéroscopie dans le bilan de la fécondation in vitro

Il s’agit d’une étude randomisée, multicentrique, réalisée par H.M. FATEMI et Coll. (Université de BRUXELLES et d’UTRECHT) portant sur 678 patientes présentant un problème d’infertilité, avec indication de fécondation in vitro (FIV) ou FIV avec micro-injection intra-ovocytaire (ICSI).

Les auteurs ont étudié la prévalence d’anomalies intra-utérines décelées par une hystéroscopie avant un traitement de FIV.

Prévention des fausses couches spontanées (FCS) par aspirine et par héparine de bas poids moléculaire (HBPM)

S.P. KAANDORP et Coll. (Pays Bas) rapportent les résultats d’une étude multicentrique randomisée menée dans 8 services aux Pays Bas.

L’étude a inclus des patientes (n = 364) entre 18 et 42 ans d’âge, ayant présenté au moins deux fausses couches spontanées idiopathiques (caryotypes normaux, absence de pathologie utéro-tubaire, absence d’anticorps anti-phospholipides, taux normaux d’homocystéine…).

Trois groupes ont été randomisés :

26e CONGRÈS de l'ESHRE (European Society of Human Reproduction and Embryology) - Évaluation de la réserve ovarienne

Ovaire droit  Ovaire

L’évaluation de la réserve ovarienne, donc de la réponse ovarienne à une stimulation hormonale, repose sur deux facteurs prédictifs principaux : le compte de follicules pré-antraux (FPA) et le dosage de l’hormone anti-müllerienne (AMH).

Traitement par DHEA

Le rôle de la DHEA chez la femme et son intérêt comme agent thérapeutique continuent à être l’objet de controverses. Le JCEM y consacre une grande revue : après avoir repris quelques bases de physiologie, les auteurs reviennent sur les données qui ont permis de relier taux de DHEA et certains paramètres cliniques avant d’analyser les études cliniques permettant d’en préciser les effets thérapeutiques potentiels chez la femme ménopausée.

Pédiatrie